Les oméga 3 sont comme les oméga 6 des acides gras polyinsaturées. Elles font partie des "bonnes graisses"  c'est-à-dire qu’elles protégent en partie le cœur de l’infarctus.

C’est la découverte du faible taux de maladies cardio-vasculaires chez les anciens esquimaux (gros mangeurs de poisson) qui permit de faire la relation de cause à effet.

Les oméga 3 comprennent 3 molécules différentes :
l’ALA (acide alpha-linolénique), l’EPA (acide éicosapentanénoïque) et le DHA (acide docosahexaénoïque ou cervonique)



Ces oméga 3 sont exclusivement apportées par l’alimentation car elles ne sont pas synthétisées par l’organisme.

Où trouver les oméga 3 ?

Pour l’ALA:

- Dans l'huile d’origine végétale : colza (le plus riche et le moins cher), noix, soja (plus d’oméga 6)
- Le pourpier crétois (sorte de cresson difficile à trouver)
- La mâche (240mg/100g), la salade, les épinards
- Le lapin, l’oie, le cheval, le gibier sauvage ou les escargots !

Pour l’EPA et la DHA:

-Les poissons et les fruits de mer, en particulier les sardines, les harengs et les maquereaux
-Les poissons des mers froides
La teneur varie en fonction de l’origine, de l’espèce et de la saison.
Pour les poissons d’élevage (saumon par exemple), même problème que pour les poules, tout dépend de l’alimentation et la teneur en oméga 3 peut ainsi varier de 1 à 40 !

Pour tous les types d’Oméga 3 :

- Les œufs : le jaune exclusivement et cela dépend de l’alimentation de la poule : herbes sauvages, graines de lin. Appellation œuf crétois, Benefic ou Colombus
- Le surimi (filets de poisson, huile de colza, oeufs).
- Le lait de vache et le beurre mais cela dépend encore de l’alimentation de la vache

Outre leur impact cardio-vasculaire, les oméga 3 sont un des constituants importants du cerveau (20% des graisses) et du système nerveux (40%).

D’ailleurs, le lait maternel humain est le plus riche en oméga 3 de toutes les espèces. Cette richesse varie cependant en fonction de l’alimentation de la mère.

Les oméga 3 sont indispensables au développement cérébral de l’enfant et en font un argument en faveur de l’allaitement maternel car les laits maternisés actuels s’ils sont enrichis en ALA, sont pauvres en DHA en raison de problèmes techniques.

Cette implication dans les structures nerveuses pourrait aussi avoir une conséquence sur la rétine, structure la plus riche en oméga3 et donc sur la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge, pourvoyeuse de cécité), sur la démence sénile (diminution du risque de 34% pour les consommateurs de poisson une fois par semaine), et éventuellement sur la dépression.

Les oméga 3 sont utilisés dans la prévention cardio-vasculaire après un infarctus et dans les hypertriglycerimédies à raison d’un gramme par jour sous forme de gélule. Ils ne dispensent cependant pas des autres traitements.

L’apport nutritionnel conseillé en ALA est de 2 g/jour chez l’homme soit 2 cuillères à soupe d’huile de colza ou de noix (1,6g/jour chez la femme). Pour le DHA 100-120 mg /jour (250 mg par jour si grossesse ou allaitement)

Aujourd'hui, la phytothérapie, reconnue en tant que médecine holistique, a remplacé les remèdes miracles de nos ancêtres par des produits naturels, curatifs et efficaces. La seule chose qui n'a pas changé au cours des années, c'est le recours aux plantes.

La nature nous a gâtés avec les plantes qu'elle met à notre disposition pour nous aider à maintenir une bonne santé et pour nous soigner. Dans l'Antiquité, les Égyptiens avaient déjà développé leur propre médecine à partir des plantes. Les Amérindiens qui habitaient sur nos terres avaient un lien très étroit avec la nature. Ils ont su tirer partie au maximum des herbes et des plantes. Alors que le scorbut guettait l'homme blanc, les autochtones se sont servi des propriétés du cèdre, arbre riche en vitamine C, pour guérir les grands explorateurs de l'époque.

Par définition, la phytothérapie est le traitement et la prévention des maladies à l'aide des plantes. Il existe plus de 20 000 plantes répertoriées, mais environ 500 seulement sont à l'étude.

Les plantes sont reconnues pour leurs grandes vertus. Elles peuvent être dépuratives, antispasmodiques, expectorantes, analgésiques, calmantes, diurétiques, antistress, purgatives, analgésiques et « reminéralisantes », et elles ont bien d'autres propriétés. Elles permettent de stimuler le foie, de soulager les douleurs, de régénérer et de nettoyer l'organisme, de renforcer les organes d'élimination, etc.

Elles peuvent équilibrer le système nerveux et nourrir les glandes surrénales. Principalement, la phytothérapie enlève les surplus de toxines dans le corps et diminue les carences causées par certaines maladies. Dans la recherche des symptômes reliés à une maladie, il est important de regarder tous les facteurs qui pourraient aggraver la condition d'une personne, y compris les facteurs de stress.

Le travail du phytothérapeute
Avant de recommander une plante à un patient, le phytothérapeute doit d'abord vérifier l'historique médical de la personne. « La phytothérapie est une médecine parallèle, c'est un adjuvant à la médecine allopathique. On doit regarder tous les facteurs naturels de santé de la personne : son environnement, son alimentation, etc. Le médecin travaille sur les pathologies de l'organisme. Le phytothérapeute tente d'éloigner le patient de toute pathologie. Nous ne faisons pas de test ni de diagnostique, nous ne sommes pas équipés pour ça. Quand il y a un état pathologique, cela nécessite les soins d'un médecin. Il faut savoir différencier la prévention de l'éradication d'une maladie. »

Bref, le rôle du phytothérapeute est de conseiller une solution naturelle à la personne qui en fait la demande. « Nous ne sommes pas là pour changer un diagnostique médical, nous sommes là pour contrer les effets secondaires et les carences que tel ou tel médicament chimique peut apporter. »

Malgré tous les avantages des produits de santé naturels, les plantes ne peuvent guérir les cas cliniques majeurs. « Pour une dépression saisonnière, par exemple, causée par un manque d'ensoleillement ou de vitamines, on peut prendre les plantes appropriées pour équilibrer le système nerveux. Cependant, pour une dépression majeure, cela prend absolument des antidépresseurs chimiques. »

La prévention demeure une arme importante dans l'évolution des maladies. Certaines plantes travaillent au niveau du foie, du système digestif et d'autres systèmes. « Nous, on préconise la prévention pour ne pas que la personne se retrouve avec un état maladif. On prône donc une médecine de terrain, pour équilibrer le corps. » Il existe sur le marché autant de plantes digestives que de plantes toniques pour régulariser les différents organes.

Attention aux combinaisons !
Ce n'est pas parce que c'est « naturel » que cela veut nécessairement dire que c'est bon pour tout le monde !  « Les gens qui ont une sensibilité au niveau de la glande tyroïde ne devraient pas prendre d'huile de lin ou de soya, parce que ça empêche l'absorption de l'iode. »

De même, il faut éviter de prendre certains produits naturels dans le cas de certaines pathologies. « Une personne très sensible à l'œstrogène ne devrait pas consommer de trèfle rouge, de luzerne, de l'huile de lin ou du soya, qui sont des produits qui contiennent déjà un taux élevé d'œstrogène. »

Même si les bienfaits des plantes sont reconnus et que certaines ont fait leurs preuves, il faut rester vigilant et bien se renseigner avant d'utiliser un produit à base de plantes. Des contre-indications sont possibles !
Une plante peut augmenter l'effet d'un médicament ou le diminuer, insiste-t-elle. Ce ne sont pas toutes les plantes, bien sûr, mais il faut quand même y voir de près. » La valériane, par exemple, peut exciter certaines personnes alors qu'elle peut en calmer d'autres. « Ce n'est pas recommandé pour les gens qui prennent de l'Ativan, un anxiolytique. Le patient aura très certainement des effets secondaires indésirables.

Ayez l'œil ouvert
Comme tous les médicaments, les produits de santé affichent des dates de péremption sur les contenants. Il est important de les vérifier. Ne prenez jamais un médicament dont la date est échue. L'action bénéfique du composant peut devenir inefficace. À l'intérieur de chaque produit, il y a des principes actifs. Quand la date est expirée, cela signifie que les produits ne sont plus actifs.

Si vous désirez faire vos propres recherches, assurez-vous que le spécialiste déniché appartient à un regroupement professionnel reconnu. Mettez toutes les chances de votre côté pour vous assurer de ne pas être victime de votre propre erreur médicale.

Quelques plantes populaires et leurs fonctions
Artichaut
Excellente pour le foie, elle facilite l'évacuation de la bille. Plante utilisée pour lutter contre le cholestérol et l'acide urique.

Bardane
Recommandée pour les affections à staphylocoques. Plante dépurative qui nettoie la lymphe. Efficace pour les problèmes de peau, surtout l'acné. Bonne aussi contre le diabète, les rhumatismes et la congestion du foie.

Busserole
Se veut antiseptique et diurétique. Apprécié pour les problèmes des voies urinaires : cystite, incontinence, infection de l'urètre.

Camomille romaine
Permet de combattre les flatulences et de calmer les maux de tête, les courbatures, les maux de dents et aide à la digestion.

Chardon Marie
Stimule l'appétit chez les gens anxieux. Combat les hémorragies et le saignement des hémorroïdes.

Curcuma
Stimule la digestion, le foie et la vésicule biliaire. Pour obtenir sa pleine capacité dans l'alimentation, il faut le servir avec du poivre.

Ginseng
Antifatigue par excellence ! Tonique et rajeunissant, il régénère l'organisme. On le dit aphrodisiaque.

Gattilier
Calmant, il s'occupe des troubles reliés aux vertiges, spasmes, angoisses et insomnies.

Mélisse
Procure le sommeil aux personnes nerveuses. Soulage les douleurs de l'estomac et de l'intestin, et calme les nausées de la femme enceinte.

Pissenlit
Décongestionne le foie et, par conséquent, améliore l'état de la peau. Élimine alors les dermatoses, le psoriasis et l'eczéma.

Voici pour les personnes qui souhaitent en savoir plus sur les compléments alimentaires  quelques recommandations que l'on peut retrouver sur le site de l'AFFSA :

Le but de cet article est avant tout de vous faire prendre conscience qu'un complément alimentaire ne se prend pas à la légère, et qu'il ya des précautions à prendre.

Compléments alimentaires

Le concept de complément alimentaire est relativement récent. Il a été défini par la directive 2002/46/CE du Parlement européen, transposée par le décret du 20 mars 2006 : « On entend par compléments alimentaires les denrées alimentaires dont le but est de compléter le régime alimentaire normal et qui constituent une source concentrée de nutriments ou d’autres substances ayant un effet nutritionnel ou physiologique seuls ou combinés… ».

Ce texte permet de fixer un cadre réglementaire à l’échelle européenne. Dépendant du code de la consommation, les compléments alimentaires doivent respecter des doses journalières maximales à ne pas dépasser et font l'objet de déclaration auprès de la Direction de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) qui examine leur composition et réalise des contrôles à l'instar des autres catégories de denrées alimentaires. Cependant, contrairement aux médicaments, leur commercialisation ne nécessite pas d’autorisation individuelle de mise sur le marché fondée sur l'évaluation d'un dossier industriel par une instance d'expertise. L’industriel est responsable de la conformité des mises sur le marché avec les normes en vigueur, de la sécurité et de la non-tromperie du consommateur.
Il existe des compléments alimentaires à base de plantes et d’ingrédients naturels, ou sous forme de complexes ou de vitamines et minéraux dans plusieurs secteurs tels que : minceur, tonique, digestion, beauté, stress, solaire, ménopause… .

Des risques de cumul

La consommation de compléments alimentaires mal conduite et/ou sans justification associée à une alimentation comprenant des aliments enrichis en vitamines et minéraux peut conduire à un risque de dépassement des limites de sécurité pour le consommateur. Il suffit par exemple, de consommer des aliments riches en zinc complétés par la prise d’un complément alimentaire, pour multiplier par deux les apports nutritionnels conseillés (ANC) et approcher ainsi la limite de sécurité.
Les compléments alimentaires peuvent donner le sentiment aux consommateurs qu’une alimentation déséquilibrée est sans conséquence, pourvu qu’ils consomment des vitamines et minéraux apportés par des ces derniers. Il convient de rester prudent quant à la consommation des compléments alimentaires et de favoriser des aliments à forte densité nutritionnelle afin de bénéficier d’un apport optimal en vitamines, minéraux et micronutriments.

Un déficit se caractérise par une insuffisance d’apport alors que la carence correspond à un apport quasiment inexistant entraînant des signes cliniques. Les déficits et les carences ne concernent que des groupes particuliers (personnes âgées en institution, populations en situation de grande précarité, par exemple). Pour des catégories de la population, des allégations ciblant certaines populations sont scientifiquement fondées. C’est le cas, par exemple, des suppléments en vitamines B9 pour les femmes enceintes ou en vitamines B12 réservées aux personnes âgées. Les effets bénéfiques sur la santé dépendent de la cible et du statut nutritionnel initial de la personne. Cela ne concerne en aucun cas la population générale qui peut, grâce à une alimentation équilibrée, couvrir l’ensemble de ses besoins.


En cas de doute sur la couverture des besoins, il est conseillé de s’adresser à un professionnel de santé (médecin, diététicien), afin qu’il juge s’il est nécessaire de réorienter le comportement alimentaire ou de proposer un apport nutritionnel sous forme de complément.

Allégations, compléments alimentaires et évaluation de l’Afssa

Suite à la multiplication des allégations, l’Afssa a été sollicitée pour évaluer le fondement scientifique des allégations. Cette évaluation est effectuée sur la base de connaissances scientifiques et d’études cliniques disponibles.
Des études cliniques bien menées manquent souvent pour justifier scientifiquement l’utilisation des allégations. Dès lors que le niveau de preuve scientifique qui lie l’allégation au produit est suffisamment élevé et que les risques en terme de santé publique sont écartés, l’allégation fait l’objet d’un avis favorable.

Ma réponse va certainement vous étonner, étant moi même un grand consommateur de plantes qu'elles soient sous forme de gélules ou en infusion, cependant je dirai oui mais avec une grande prudence.

En effet on constate depuis ces 5 dernières années que le marché des compléments alimentaires à explosé en très peu de temps. De nombreuses sociétés se sont crées pour mettre la main sur ce marché juteux. La plupart vendent exclusivement leur produits sur internet, je le constate tous les jours en voyant arriver de nouvelles marques qui n'exixtaient pas il y a encore quelques mois. Je suis pour ma part devenu depuis ces 2 dernières années un consommateur du web et j'ai testé pas mal de sites qui vendent leurs compléments alimentaires. Une chose m'a cependant étonné, on trouve sur internet des plantes interdites à la vente en France. Je me suis renseigné auprès de certains Laboratoires de compléments alimentaires qui m'on tous tenu (du moins pour les plus sérieux ) le même discour en me disant que seuls les plantes autorisées dans la pharmacopé française sont autorisées à la vente et doivent obligatoirement faire l'objet d'une autorisation de mise sur le marché auprès de la DGCCRF. ( Je mettrai dans un futur article la liste de ces fameuses plantes autorisées ). Sachez en tout cas que celles qui se trouvent décrites sur mon blog sont toutes autorisées. ( Non mais ! )

Bon en tout cas cela ne rassure pas vraiment car j'ai pu constaté que l'on pouvait vraiment tout se procurer sur internet sans véritablement savoir ce que l'on achète car la plupart des sites de compléments allimentaires ne se trouvent pas en France et ne sont donc pas soumis aux normes de notre pays. Il ne faut pas oublier que pour qu'un complément alimentaire soit efficace il doit regrouper différents critères :

- Une matière première de qualité ( Un laboratoire sérieux est tenu d'effectuer une analyse de chacune des ses matières premières ceci afin de connaître le taux en principe actifs de la plante médicinale, si ce dernier ne correspond pas à la moyenne reglementée il ne sera logiquement pas mis en vente  ). Bien sur c'est là ou il faut faire attention car certaines sociétés n'hésitent pas à commercialiser leurs produits mêmes si les taux en principes actifs ne sont pas suffisants. Ainsi on peut se retrouver avec des gelules qui n'ont plus aucune efficacité. J'ai eu l'occasion de discuter avec 2 responsables de 2 Laboratoires différents, ils m'ont avoué qu'il leur arrivait d'être en rupture de stock pour certains de leurs produits car les matières premières qu'ils recevaient  ne rentraient pas dans leurs critères de qualité. Je leur ai répondu que c'était tout à leur honneur car certains de leurs concurrents ne s'embarassaient pas de ce genre de scrupules. Pour infos sachez qu'un Laboratoire de compléments alimentaires sérieux fait une analyse de la matière première qu'il recoit à chaque arrivage.

- Un dosage respecté de la composition en plantes médicinales est obligatoire. La DGCCRF vérifie les formules mises sur le marché par les Laboratoires, ceci afin de s'assurer qu'il n'y a pas de risques de surdosages pour les plantes utilisées. Car même si nous sommes dans l'univers des plantes médicinales il ne faut pas négliger leurs aspects toxiques pour l'organisme en cas de surconsommation. C'est pourquoi aujourd'hui un Laboratoire Français sera mieux controllé qu'une autre société étrangère, cette dernière peut vous vendre des compléments alimentaires dont les dosages sont bien supérieurs à ceux autorisés en France.

Pour ma part j'aime acheter mes compléments alimentaires dans un magasin dietetique je trouve qu'on y a un conseil particulier, généralement les personnes qui y travaillent connaissent très bien les produits qu'ils vendent, cependant j'en achète aussi sur internet. Oui mais pas n'importe qui, des Laboratoires que je connais pour leur sérieux et la qualité de leurs produits. Si vous acheté sur internet je vous propose un très bon test. L'appel téléphonique. La plupart des sites ont un numéro de télephone pour les apeller. Alors faites-le, cela vous permettra de vous rendre compte du sérieux du Laboratoire qui pour ceux qui sont professionels vous conseillerons sur les produits dont vous avez véritablement besoins, et non sur le dernier produit à la mode. N'hésitez pas à leurs posez toute vos questions, certains vous répondrons qu'ils ne sont pas médecins et c'est normal car la législation des compléments alimentaires interdit l'utilisation de toutes allégations thérapeutiques, c'est d'autant plus difficile qu'il faut bien dire quelquechose sur l'effet de tel ou tel compléments alimentaire ,mais d'autres mettront en avant les effets thérapeutiques des plantes médicinales employées dans leur compléments alimentaires et vous permettront de trouver le produit qui vous correspondra le mieux.

Pour conclure, "désolé j'ai été un peu long", je dirai que l'on peut acheter sur internet des compléments alimentaires en privilégiant les Laboratoires Français qui déclarent leurs produits auprès de la DGCCRF. Pour ceux qui font également du Bio leurs produits sont obligatoirement controllés par des organismes certificateurs tels que Qualité France, Ecocert... Ce mode de controlle est un gage de qualité supplémentaire car les matières premières doivent faire l'objet d'un cahier des charges issu de l'agriculture biologique très contraignant pour le fabricant. Privilégier les sîtes qui indiquent clairement leurs coordonnées ( Adresse du siège social, numéro de teléphone de préférence local et non surtaxés ), si vous hésitez toujours à commander sur leur sîte, les plus sérieux vous proposerons de commander gratuitement leur catalogue papier, c'est ce que je fais le plus souvent ca me permet de feuilleter tranquillement en prenant le temps de choisir le produit qu'il me faut. Voilà je mettrai prochainement des liens des Laboratoires que je conseille en espérant que cela vous aidera à faire votre choix. N'hésitez pas à réagir à cet article, je ne manquerai pas de répondre à vos questions.
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