L'épilobe , une plante qui semble émerger pour le tonus de la prostate. L'épilobe (Epilobium parviflorum, Onagraceae), en effet, jouit d'une popularité croissante. L'épilobe est une plante familière très communes dans les régions alpines.

L'emploi de l'épilobe lors de troubles de la prostate a été rendu populaire par Maria Treben, une herboriste autrichienne.

Dans son livre intitulé Gesundheit aus der Apotheke Gottes, elle raconte que, depuis plus de trente ans, elle conseille avec succès l'utilisation d'épilobe en cas de troubles de la miction liés à l'hyperplasie bénigne de la prostate.

De nombreux chercheurs se sont intéressés depuis à cette plante afin d'en percer les secrets. On a d'ailleurs constaté que des extraits aqueux d'épilobes possèdent des propriétés anti-inflammatoires et agissent sur le tonus de la prostate.

D'autre part, un travail réalisé récemment à l'Institut de pharmacognosie et phytochimie de l'Université de Lausanne a permis l'isolement et l'identification de tanins présents dans une infusion d'épilobe et qui inhibent la 5Ó-réductase de la testostérone, ainsi que l'aromatase, deux enzymes impliquées dans la croissance de la prostate.

Toutes les conditions semblent donc réunies pour faire de l'épilobe un remède efficace pour le traitement des troubles de la prostate. Des témoignages de patients et de médecins montrent que l'intervention chirurgicale a pu être retardée dans certains cas et évitée dans d'autres.

Pour être efficaces, les préparations phytothérapeutiques doivent être prises pendant de longues périodes sans interruption.

Source : Plantes et santé.

Je reviens sur cet article car vous êtes nombreuses à me demander plus d'infos sur la caneberge. J'espère que vous y trouverez vos réponses.

Pour Infos,le Laboratoire Florediet, à un très bon produit, voir  leur site (www.florediet.com ), rubrique confort intime.

Noms communs : Canneberge, airelle canneberge, airelle à gros fruits, atoca, ataca.

Noms botaniques : Vaccinium macrocarpon, Vaccinium oxyccocos, famille des éricacées.

Nom anglais : Cranberry.

Partie utilisée : Le fruit (airelle) et son jus.

Habitat et origine : Arbuste à feuilles persistantes qui pousse dans les tourbières de l'Amérique du Nord (Vaccinium macrocarpon et en Europe Vaccinium oxyccocos

Posologie

Prévention des infections urinaires

• Boire de 250 ml à 500 ml par jour de cocktail de canneberge (voir ci-dessous) ou prendre, deux fois par jour, l'équivalent de 300 mg à 400 mg d'extrait solide sous la forme de capsules ou de comprimés. On peut également consommer les fruits frais ou congelés à raison de 125 ml à 250 ml par jour.

Historique

Les Amérindiens employaient la canneberge pour prévenir et traiter les infections des voies urinaires, ainsi que pour soigner divers troubles du système digestif, du foie, des reins et du sang. Les baies ont aussi été utilisées pour prévenir et soigner le scorbut et, en cataplasme, pour le traitement des blessures cutanées. Cependant, avant tout, la canneberge servait à la préparation du pemmican, un aliment de longue conservation qui renfermait également de la viande séchée et du gras animal. Le nom atoca (ou ataca) qu'on utilise au Québec, spécialement pour désigner la gelée de canneberge servie avec la dinde, nous vient des Iroquoiens. La canneberge fut rapidement adoptée par les Européens venus coloniser l'Amérique du Nord, tant pour ses propriétés médicinales que pour ses usages culinaires.

Près de 98 % de la production mondiale de canneberge est issue du nord des États-Unis et du Canada. On y récolte la canneberge sauvage, mais la culture en milieu semi-artificiel s'est largement répandue au cours des dernières années.

Dès le milieu du XIX^e siècle, des médecins allemands contribuèrent à répandre dans le monde moderne l'usage médicinal de la canneberge pour prévenir et traiter l’infection urinaire, usage qui fut délaissé après la Deuxième Guerre mondiale, lorsque les antibiotiques de synthèse devinrent chose commune. On a cependant recommencé à s'intéresser aux vertus médicinales de ces baies dans les années 1960.

Recherches

Prévention des infections urinaires chez les femmes à risque. Les auteurs d'une méta-analyse publiée en 2004 concluaient que, d’après deux des sept essais cliniques analysés (300 femmes, 150 dans chacune des deux études), la canneberge pouvait être efficace pour la prévention des infections urinaires chez les femmes à risque, c'est-à-dire celles ayant déjà eu ce type de problème.

Dans la première de ces études, les participantes ont pris durant un an soit 50 ml d’un concentré de jus contenant l’équivalent de 7,5 g de canneberge et de 1,5 g d'airelle vigne d'Ida - Vaccinium vitis idaea, soit 100 ml d’une boisson enrichie en lactobacilles (probiotiques). Un groupe n’ayant reçu aucun traitement a servi de témoin. Le taux de rechute a diminué de 20 % chez les femmes qui avaient bu le jus de canneberge par rapport au groupe traité aux lactobacilles et au groupe témoin. L’autre essai clinique, mené au Canada, a aussi duré un an. Les participantes ont reçu soit un placebo (jus ou comprimés), soit un comprimé d’extrait de canneberge (1:30) deux fois par jour, soit 250 ml de jus trois fois par jour. Les deux traitements ont été plus efficaces que le placebo. Les extraits ont été aussi efficaces que le jus pour réduire le nombre de rechutes.

On ne peut cependant extrapoler ces résultats à d’autres groupes de personnes à risque comme les personnes âgées. Par exemple, un important essai clinique publié en 2005 n’a pas réussi à établir de lien clair entre la consommation de jus de canneberge et la prévalence des infections urinaires dans un groupe de 376 personnes âgées en milieu hospitalier. Cependant, comme le soulignaient les auteurs, cette étude vient confirmer la grande innocuité de la canneberge, c’est-à-dire l’absence d’effets indésirables notables. Le seul inconvénient reste le goût acide du jus qui ne plaît pas à tout le monde et qui peut nuire à la fidélité au traitement.

On a d'abord cru que l'effet antibactérien de la canneberge tenait au fait qu'elle acidifiait l'urine, puis on a découvert que cet effet était minime. On pense aujourd'hui que le fruit empêche les bactéries d'adhérer aux parois des voies urinaires et, par conséquent, d'y croître.

Traitement des infections urinaires. Les seuls essais ayant porté sur le traitement proprement dit des infections urinaires ont été menés dans les années 1960. Le nombre de sujets était restreint et les protocoles mal décrits. De plus, il semble que, dans certains cas, les bactéries résistent à l'action de la canneberge.

Prévention des troubles cardiovasculaires. La teneur élevée en antioxydants de la canneberge laisse envisager un effet bénéfique potentiel pour la santé cardiovasculaire. Cependant, peu de recherches ont porté sur cette question jusqu’à maintenant. Une étude préliminaire publiée en 2005 (21 hommes) indique que la prise quotidienne, pendant deux semaines, d’un cocktail de canneberge, peut favoriser la diminution des particules LDL oxydées (à l’origine du processus d’athérosclérose)⁸. De plus, au cours d’un essai récent (2006) sur 30 sujets, on a observé que la consommation de cocktail de jus de canneberge faible en calories, durant douze semaines, pouvait augmenter la concentration de bon cholestérol (HDL)⁹. Cependant, une autre recherche de petite envergure (20 femmes périménopausées) n’a pu établir de lien entre la consommation de jus de canneberge et le profil de risque cardiovasculaire¹⁰. Des scientifiques de l’Université Laval (Québec) poursuivent actuellement des recherches visant à mieux comprendre le rôle potentiel de la canneberge sur le profil de risque cardiovasculaire. Une étude américaine est aussi en cours. Consulter notre fiche Troubles cardiovasculaires.

Précautions

• Il est important de boire beaucoup d'eau lorsqu'on prend des capsules ou comprimés composés de jus de canneberge déshydraté à cause d'un risque potentiel de calculs rénaux¹¹.
• Les diabétiques devraient privilégier les comprimés d'extrait de canneberge ou le jus pur, car les cocktails de canneberge renferment du sucre ou du fructose.
• Femmes enceintes et qui allaitent. La consommation de canneberges sous forme alimentaire est sans danger. Cependant, les données sur l’usage sécuritaire des suppléments sont insuffisantes.

• Aucune connue.

• Aucun connu aux dosages recommandés. Une diarrhée pourrait survenir en cas de consommation excessive (quatre litres ou plus de jus par jour).

Interactions

• Aucune connue.

• Le jus de canneberge pourrait augmenter l’effet anticoagulant de la warfarine (Coumadin®) en diminuant l’activité de l’enzyme qui dégrade ce médicament. Un avis d’effet indésirable a été émis au Canada. Cependant, une récente étude indique qu’une telle interaction est improbable. En l’absence de données concluantes, les personnes qui prennent des anticoagulants devraient éviter de consommer de grandes quantités de canneberges.

OU ACHETER :
Cliquez sur le lien ci-dessous.
http://www.florediet.com/art,13,canneberge.htm

Troubles menstruels, irritabilité, tensions mammaires, douleurs abdominales, rétention d’eau.

Origine :

L’onagre trouve son origine en Amérique du Nord ou elle était utilisée par les indiens. Elle est aujourd’hui très commune en Europe, en France on la trouve dans le Sud Ouest surtout au bord des étangs. On l’appelle également « herbes aux ânes » ou encore primevère du soir. C’est son huile qui est particulièrement intéressante, extraite des graines par première pression à froid, et riche en acides gras essentiels du type oméga 6. Cette huile huile d’une belle couleur jaune d’or, reste très sensible à la chaleur, l’air et la lumière.

Composants essentiels de l’huile d’onagre :

Les graines renferment dans un proportion de 25 %, une huile riche en acides gras essentiels – acide linolénique ( 65 à 80 % ) et non linolénique et en acides gras insaturés – acides gammalinolénique ( 8 à 14 % ) – des protéines ( 15 % ), des fibres, des lectines, ainsi que des matières minérales riches en calcium. L’insaponifiable ( 2% ) est composé en majorité de bêtasitostérol et de citrostadiénol.

Propriétés :

Les acides gras de l’huile d’Onagre sont des précurseurs des prostaglandines. Ces substances agissent au niveau du cycle menstruel. Des études cliniques ont démontrés que l’huile d’Onagre à un effet bénéfique sur le syndrome prémenstruel en diminuant les symptômes associés : irritabilité, dépression, tension mammaire, douleurs abdominales, rétention d’eau ; maux de tête…

Contre les infections urinaires.
La canneberge ou ( Cranberry ) , petite baie rouge, proche de la myrtille va contribuer à diminuer la fixation de certaines bactéries aux parois du système urinaire. Ces bactéries sont souvent la cause de problèmes urinaires aussi bien chez la femme que chez l’homme. La canneberge est également idéale en cas d'incontinence urinaire, souvent à l'origine de petites infections. Cette petite baie représente donc une possibilité nouvelle de prévenir les infections urinaires en réduisant le recours aux antibiotiques et, par le fait même, les effets indésirables qui leur sont liés.